Category Archives: Blog

27Juil/23

Le jeûne d’Achoura : Une occasion bénie de renouveau

Assalamu’alaikumu wa rahmatullahi wa barakatuh !

 

Le mois sacré de Mouharram a déjà commencé, et avec lui vient une occasion précieuse de se rapprocher davantage d’Allah et de rechercher les mérites d’une journée importante de notre histoire, Achoura, le dixième jour de ce mois béni, un moment de gratitude envers notre Créateur, rappelant l’épisode où Il a sauvé le prophète Moûssâ (Moïse) et son peuple en ouvrant la mer pour eux, ensevelissant Pharaon et ses soldats.

 

Jeûner Achoura est un acte hautement méritoire, selon les paroles du Prophète Muhammad (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui), car il efface les péchés de l’année précédente. C’est une opportunité exceptionnelle de se repentir sincèrement et de chercher le pardon divin.

 

Pour se rapprocher davantage d’Allah, on pourrait jeûner les 9, 10 et 11ème jours de Muharram, entourant ainsi Achoura de deux jours supplémentaires de jeûne. Suivre le souhait exprimé verbalement par le noble prophète béni conduirait à jeûner les 9ème et 10ème jours du mois ou les 10ème et 11ème jours. Se contenter de jeûner le 10ème jour correspondrait néanmoins à la pratique prophétique.

 

Quel que soit le choix, le jeûne d’Achoura est un moyen privilégié de se purifier et de revenir repentant vers notre Créateur. Alors, saisissons cette opportunité pour renforcer notre foi et manifester notre piété et notre amour pour Allah, Le Miséricordieux seigneur des mondes.

 

Nous implorons l’assistance d’Allâh de pouvoir bénéficier de Son pardon et d’obtenir Son agrément, dons qui remplissent tout cœur de gratitude envers Lui.

 

Wassalamu ´alaikumu wa rahmatullah !

17Août/21
achura

Âchurâ 1443

Mercredi ou Jeudi 10 Muharram 1443, correspondant au 18 ou 19 août 2021, est un jour important pour les musulmans du monde entier. Il commémore le secours divin du prophète Mûssa (Moise) et des enfants d’Isrâ-îl (Ya’qûb, Jacob), plus connu sous le nom de « la sortie d’Egypte ». Le pharaon de l’époque du prophète Mûssâ (que Dieu le bénisse) était un homme orgueilleux. A l’instar de ses semblables, comme Satan, il sema le désordre sur la terre et s’est fait adoré. D’ailleurs il s’est pris pour Dieu, en s’accordant le droit de vie et de mort sur ses « sujets ». C’est contre une telle servitude que Le Seul véritable Seigneur a envoyé Mûssâ et son frère Hârûn (Aaron) (bénis soient-ils tous deux) au Pharaon de leur époque et lui rappeler son statut de simple humain qui devra retourner un jour à son seigneur et Lui rendre des comptes.

 

Le salut de Pharaon résidait dans son acceptation de la qualité de messager d’Allâh pour Mussa et la délivrance des fils d’Isrâ-îl. En effet, non content de les persécuter, Pharaon condamnait à mort tout nouveau-né de sexe masculin descendant d’Isrâ-îl. Malgré les preuves évidentes apportées par Mûssâ de la part de son seigneur à Pharaon, ce dernier ne renonça ni au génocide ni à ses prétentions. Allâh, l’Omniscient, révéla à Mûssâ (béni soit-il) d’émigrer avec son peuple vers la Palestine, une terre qu’Il a bénie et aujourd’hui le théâtre de massacres et d’injustice innommables.  Ils partirent de nuit, chargés, la peur au ventre et la plupart peu confiants quant à l’issue du voyage. Face à l’obstacle physique et apparemment insurmontable de la mer, Allâh, l’Omnipotent, révéla à Mûssâ (béni soit-il) de frapper, avec son bâton, la mer qui se fendra pour laisser passer les fuyards, miracle parmi les miracles.

 

Les fils d’Isrâ-îl allaient être poursuivis puis rattrapés par Pharaon et son armée, mais sans compter sur l’assistance divine dont Il a assuré les Croyants, en général et les Messagers (bénis soient-ils) en particulier.  Invoqué par Son serviteur vertueux, Mûssâ, Celui Qui répond à l’appel, notamment de celui de tout opprimé, ordonna à la mer, une de Ses créatures parmi d’autres, d’engloutir les poursuivants, ce qu’elle fit car ne pouvant pas désobéir à son Seigneur et Maître. A cet instant, Pharaon attesta de l’exclusivité de la divinité véritable à Allâh, mais c’était trop tard. Allâh a promis, et Sa Promesse est vraie, de sauver le corps de Pharaon pour en faire un signe pour les gens qui suivront, mais lui a promis le plus dur châtiment qu’il a certainement commencé à gouter. Cet évènement eut lieu le 10 Muharram, et est connu dans l’histoire musulmane comme le jour de Âchurâ. Mûssâ (béni soit-il) jeûna ce jour, en signe de reconnaissance de ce bienfait de Dieu, ainsi que les croyants ; informé à son arrivée à Médine de la raison pour laquelle les juifs jeûnaient un jour, le prophète Muhammad (béni soit-il) a dit (en substance) « Nous avons plus le droit de nous réclamer de Mûssâ que vous », sous-entendant par-là que, comme lui, nous suivons la même religion, l’Islâm, et sommes fidèles au message dont il fut le porteur, celui de l’Eternel. Le Prophète (béni soit-il) a jeûné ce jour et ordonné aux musulmans de faire de même.

 

Après la révélation de l’obligation du jeûne du mois de Ramadhân pour celui qui en avait la capacité, le deuxième lundi du mois de Sha’aban (huitième mois lunaire) de l’an II de l’hégire, jeûna le jour de Âchurâ qui voulait. Son jeûne, nous a informé le Prophète béni, est récompensé par le pardon des péchés (véniels) d’une année. En l’an IX de l’hégire, il arriva que le calendrier juif coïncida avec le celui des musulmans et les deux communautés jeûnèrent le même jour. Le Prophète dit alors (en substance) « si Allâh me fait voir l’année prochaine, je jeûnerai aussi le 9 (Muharram) », ceci pour distinguer les actes d’adoration des deux communautés. Dans une version du dire prophétique on trouve « …. je jeûnerai aussi le 11 (Muharram) » et dans une autre « …. je jeûnerai aussi les 9 et 11 (Muharram) ». Le mois d’Allâh Muharram étant le meilleur mois du jeûne, après celui du Ramadan, et au vu de la récompense du jeûne (qui n’a pas d’équivalent), jeûner ces jours ainsi que d’autres jours de ce mois serait indiqué. Allâh, Le vivant Qui ne meurt pas, a décidé de rappeler Son Messager et serviteur Muhammad, en Rabîa-al-ûlâ, selon les meilleures sources historiques, satisfait de lui.

 

Qu’Allâh bénisse et honore ce noble Prophète dans ce monde et dans l’autre, ainsi que (les membres pieux de) sa famille et ses compagnons ! Ce jeûne est donc une adoration et une confirmation de la reconnaissance et l’attachement des musulmans à tous les Messagers et de l’unicité du message divin, l’islam.

02Déc/20
Pour un imâmat au service des Musulmans

Pour un imâmat au service des Musulmans

L’imâm est, étymologiquement, le guide. Celui qui est devant, montre le chemin, précède les autres, le responsable d’un groupe humain. Le terme est utilisé dans le Coran pour désigner les prophètes ainsi que ceux qui ont guidé les croyants après eux. Dans l’entendement commun, il est compris comme celui qui dirige les prières communes, célèbre les mariages et délivre des sermons, notamment ceux du vendredi. S’il est rétribué pour cette fonction dans certains pays, en tant que « imâm-fonctionnaire », en France et dans nombre de pays son salaire incombe parfois aux fidèles mais il est généralement bénévole, n’attendant que d’Allâh sa récompense, ici-bas comme dans l’au-delà. Pour exercer cette fonction, aucun diplôme n’est requis, même si la compétence et la piété restent les qualités à réunir chez celui qui est appelé à éclairer les enseignements de l’islâm.

 

L’imâm devrait être désigné par ses coreligionnaires, les fidèles qu’il connaît et qui le connaissent, qu’il fréquente et aime et vice versa, et non pas parachuté par un groupe de pression politique ou religieux, et encore moins autoproclamé, conformément à l’éthique musulmane qui veut que « l’on ne donne pas le pouvoir à celui qui le demande ». Ce dernier qui cherchera à occuper une telle fonction par ambition, même animé par les meilleures intentions, aura à cœur de satisfaire un projet personnel ignorant ou sans redouter les conséquences de la prise de responsabilités qui lui vaudra le jour J l’humiliation s’il n’a pas été de ceux qui ont craint leur Seigneur en donnant à chacun son droit. Or, le plus savant de la communauté qu’il guide, l’imâm, devrait aussi être celui qui craint le plus Allâh, comme l’affirme le Coran.

 

L’imâm devrait jouer le rôle de dirigeant de la structure qui l’a chargé d’une si importante responsabilité, bénévolement ou contre salaire. C’est dans cet esprit que dans l’islam matinal, le terme était employé pour désigner naturellement le chef de la communauté qui dirigeait aussi les prières à la mosquée, de droit. Occupé par ses lourdes et multiples occupations au sommet de l’État, il se faisait souvent remplacer pour la direction des offices, tout en en gardant la prérogative, notamment lors de la prière des deux fêtes où le message pouvait avoir un impact politique, au sens de gestion des affaires de la communauté dont il est responsable, certain.

 

Si « l’imâm-fonctionnaire » ne saurait prétendre à une fonction autre que cultuelle, dans le contexte de séparation du culte et de l’État, comme en France, l’imâm devrait exercer aussi la direction de l’association qui dirige la mosquée, sous peine d’assister aux nombreux problèmes récurrents inhérents à la direction bicéphale dont beaucoup de mosquées sont coutumières. En effet, au président de ladite association, pas toujours très savant en matière de religion, incombe la charge de gérer les affaires administratives, comme le lui octroie les statuts. Mais, dans les faits, c’est l’imâm qui est reconnu par les fidèles qu’il côtoie plus et aide au quotidien. Malgré donc la « bonne volonté » de ce dernier, il n’est pas rare que des antagonismes naissent, alimentés par les égos et les ragots, chaque fois que l’Adoré est oublié et que Satan s’empare des fils d’Adam.

 

Bien que les deux fonctions ne requièrent pas les mêmes compétences et qualités humaines, l’idéal serait de disposer d’un « imâm-président » bénévole, pour le bien de la communauté, même si cela peut être mal interprété comme étant un « cumul des mandats » ou « soif de pouvoir ».
A défaut du candidat idéal réunissant les compétences à la hauteur des responsabilités, le bon gestionnaire déléguera l’imâmat à plus érudits en matière religieuse, le plus important au final, car la structure n’étant qu’un moyen pour arriver au but, qui n’est que l’agrément divin !
Dans ce contexte, exiger l’agrément d’une structure administrative externe au lieu d’exercice, fusse telle composée de personnes dont les compétences en matière religieuse soient reconnues, est étrangère à l’esprit de l’islâm et loin d’aider à organiser cet islam dit de France.

 

Imposer des imâms aux mosquées suppose que les maisons d’Allâh appartiendraient aux « nominateurs » qui devraient aussi pouvoir rémunérer les officiers du culte, chose impossible dans la durée sans l’intervention active de l’État, réputé pourtant indépendant du culte depuis 1905. De plus, ce serait la plus grande insulte faite aux fidèles qui seraient, encore une fois, traités comme des inaptes, incapables et incultes qui auraient besoin de direction imposée dans des édifices qu’ils ont pourtant eu tant de mal à financer, à construire et à entretenir.

 

Penser qu’en désignant les imâms on résoudrait le problème du « radicalisme » ou de « l’islamisme politique » est la théorie erronée distillée par des instruits, loin d’être savants, à la recherche de succès audiovisuels, populistes ou en librairie ou de subventions imméritées. L’expérience récente prouve, si besoin en était, la fausseté de cette malhonnête manœuvre intellectuelle et l’inefficacité de sa mise en pratique.

 

Ceci n’est pas étonnant parce que cette théorie n’est basée que sur de la «sociologie» dévoyée, et non sur une vraie connaissance des musulmans et de l’islâm, leur religion, qui engage la conscience individuelle devant le Seigneur des mondes et appelle tout individu à prendre ses responsabilités en préparation du jour J, jour où « aucune âme ne pourra rien pour une autre ». L’imâm, à l’instar du Prophète béni, n’a qu’une mission : faire parvenir le message divin dans toute sa clarté. Si tel n’était pas le cas, libre à chacun d’aller le rechercher ailleurs, y compris chez des ignorants qui officient hors mosquées.

 

Laisser les Musulmans des mosquées choisir librement leurs guides, en citoyens responsables, puis les accompagner juridiquement et logistiquement dans la gestion de leurs lieux de vie, tout en encourageant un partage d’expériences et de compétences, est la seule solution raisonnable, viable et respectueuse des Musulmans et de leur religion et de leurs imâms. C’est de ces mosquées et de leurs dignes représentants que l’État, à travers tous ses représentants, trouvera ses légitimes interlocuteurs pour un bien-vivre-ensemble !

 

Crédit photo de la couverture : Trouve Ta Mosquée

08Oct/20
Communauté, Communautarisme et Séparatisme

Communauté, Communautarisme et Séparatisme

De « commun » certainement dérive « communauté », ce lien qui unit un groupe et définit sa spécificité, le partage de valeurs et/ou de biens matériels ou d’espace dans l’intérêt de tous ses membres. La Oummah, traduite ici par Communauté, est une valeur référentielle de l’islâm maintes fois utilisée dans ses sources, notamment dans le Coran. « Votre Oummah que voici est une communauté unique. Et Je suis votre Seigneur. Adorez-Moi donc ». « Et Votre Oummah que voici est une communauté unique. Et Je suis votre Seigneur. Craignez-Moi donc ». Cette vérité en islâm vient cimenter la communauté des Croyants par l’adoration d’Allâh Seul. D’ailleurs, leur référence historique, Ibrahîm (paix divine sur lui) est appelé aussi Oummah.  Où qu’il soit, l’orant s’adresse à son Seigneur dans sa prière en soulignant son appartenance à cette Oummah, au moins 17 fois par jour. En effet, après la proclamation des louanges et glorification qui lui sont dues en exclusivité, celui qui prie en groupe ou seul s’adresse à son Seigneur : « C’est Toi seul que nous adorons et c’est à Toi seul que nous demandons secours. Guide-nous dans le droit chemin… ».

 

Le communautarisme, concept décrivant une attitude d’individus à vouloir se distinguer des autres en se ghettoïsant, en vivant en cercle clos, est foncièrement impropre à l’islâm pour qui le connaît tant soit peu au travers de ses références. C’est cette religion qui ne connaît pas de frontière de langues, de couleurs, ni de supériorité de races, de sexes, qui reconnaît tous les prophètes. Il est venu redonner du sens à l’humanisme et à la solidarité et casser les liens tribaux et ancestraux, non sans difficultés, pour donner sens à la vie. Tout ceci n’a été et ne pourra se faire qu’au travers de la reconnaissance d’une Oummah (humanité) unique que les gens ont transformé selon leurs passions et intérêts immédiats après l’envoi des Messagers. Les différences d’apparences, nous dit le Coran, ne sont là que pour se distinguer et se reconnaître, non pour en tirer vanité et autosuffisance.

 

Parce que l’homme est social, par nature, les tendances communautaristes ne manqueront pas d’apparaître ; néanmoins cette notion restera antinomique avec l’islâm. En effet, la vision de l’islâm des Prophètes est de faire découvrir Dieu, pour L’aimer, appeler à Lui vouer un culte exclusif pour un présent meilleur et un bonheur futur éternel. Comment remplir une telle mission dans le repli et le rejet de l’autre ? Comment appeler à l’amour en semant la haine ? Il n’est guère étonnant que le repli sur soi soit en progression dans une communauté pointée du doigt et dont les jeunes sont majoritaires sur le marché du travail, souvent en raison de leurs prénoms ou leur faciès et dont les femmes sont souvent la cible de discrimination pour leurs tenues vestimentaires. Plutôt que de rechercher les origines de cette injustice sociale, on camouflera cet échec par l’accusation de séparatisme.

 

Séparatisme renvoie à une tendance, voire une revendication d’un groupe humain, sur la base d’arguments historiques ou/et religieuses, de l’indépendance ou au moins d’une large autonomie qui lui permettrait de gérer des affaires de manière séparée du reste de la société. En France on penserait aux cas de DOM-TOM (départements et territoire d’Outre-mer) ou à certaines régions. Curieusement, ce sont les Musulmans qui sont accusés par certains politiques de séparatisme. Sur quelles bases de telles graves accusations ont été formulées ? A en croire les accusateurs, la multiplication des écoles confessionnelles et de l’enseignement à distance en seraient des indicateurs patents. A supposé même que ce constat soit avéré, il aurait été plus judicieux et plus utile d’en rechercher les causes plutôt que déclarer la guerre aux soi-disant « ennemis de la République ». Pourquoi les mêmes suspicions de séparatisme n’ont-elles pas été formulées pour les autres écoles confessionnelles ? Pourquoi les opposants au « mariage pour tous » et à la « gestation pour autrui » ou à l’enseignement de « la théorie du genre » n’ont-ils pas été taxés de séparatistes ?

 

La laïcité, garante du traitement égalitaire de toutes les religions et de la liberté de pensée, serait menacée par le prétendu « séparatisme islamiste », à en croire ses nouveaux défenseurs, les laïcistes qui la redéfinissent comme l’anti-religion, l’absence de morale religieuse et de Dieu en dehors de la sphère familiale, et encore. Il faudrait sauver les enfants de leurs parents qui risqueraient de les influencer dans leur futur développement intellectuel en leur imposant l’éducation à l’école de la république, et non l’instruction, dès 3 ans.

 

Pour lutter contre le séparatisme « islamique » il faudrait, selon les « protecteurs » de la laïcité et de République, contrôler la formation des imâms et financement des mosquées. La laïcité est pourtant évoquée pour justifier le traitement inégal des cultes pratiqués en France en raison de la loi de 1905 de la séparation de l’état et des cultes. Et pourtant, des conventions ont été signées avec des états pour former les futurs imâms de France et combien de mosquées ont été construites avec des fonds étrangers. Même si aucun lien n’a été établi entre le séparatisme et la direction des mosquées, les premiers concernés, les Musulmans, auraient dû être consultés et aidés dans un tel projet, plutôt que désignés comme responsables et sommés de statuts sous peine de sanctions. Ne méritent-ils pas, comme tout citoyen, d’être aidé et accompagné par les structures étatiques, en lieu et place de mesures coercitives, comme ils ne comprendraient que cela ?

 

A tous les apprentis sorciers qui jouent avec le feu pour arriver à leurs desseins, aux porteurs de haine, nous disons que celle-ci n’a apporté que malheur, et il ne saurait en être autrement.

 

Qu’Allâh nous vienne en aide en nous assistant contre les maux de nos âmes et les conséquences de nos péchés !